Dans l’Antiquité, l’aruspice interprétait la volonté divine en lisant dans les entrailles d’un animal sacrifié, viscères d’oiseaux, vésicules de volaille, foie de mouton. L’animal était rituellement abattu. L’aruspice pouvait alors examiner la taille, la forme, la couleur, les signes particuliers de certains organes, généralement le foie. L’organe était divisé en quatre parties correspondant aux quatre points cardinaux, chacune d’entre elles représentait la demeure de certaines divinités, invoquées, auxquelles l’officiant demandait l’intercession dans les affaires humaines.
– Samedi 25 à 11h30, Théatre Romain